A la pointe des fusils, les baïonnettes
Partout les tirs en rafales des mitraillettes
Et le bruit assourdissant des explosions
Obus tombés par millions
Détruisant l’horizon
Dans les tranchées, la boue, la crasse et le froid
La peur au ventre, la fatigue, le désarroi
Si longtemps pris dans la tempête et l’orage
Il en fallait du courage
Et ravaler sa rage
Refrain :
Et pourtant
Comme ils se ressemblaient
Des deux côtés des barbelés
Et pourtant
Par delà les frontières
Ils auraient pu devenir frères
Et pourtant
A 20 ans les gamins
Ne rêvent que de lendemains
Et pourtant
Aucun d'eux n'aimait guère
L'idée de mourir à la guerre… de mourir à la guerre
Et pourtant …
Soldats au front sans connaître la raison
Loin de leur famille, leur amour, leur maison
Et sur les joues de tant d’enfants et de femmes
Ont coulé trop de larmes
Par la faute des armes
Refrain
Et pourtant
Et pourtant
Comme ils se ressemblaient
Des deux côtés des barbelés
Et pourtant
Par delà les frontières
Ils auraient pu devenir frères
Et pourtant
A 20 ans les gamins
Ne rêvent que de lendemains
Et pourtant
Aucun d'eux n'aimait guère
L'idée de mourir à la guerre… de mourir à la guerre
Et pourtant …
Soldats au front sans connaître la raison
Loin de leur famille, leur amour, leur maison
Et sur les joues de tant d’enfants et de femmes
Ont coulé trop de larmes
Par la faute des armes
Refrain
Et pourtant
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